Vidéos Section |
Ajouter Aux Favoris
|
Recherche sur les cancers : tout s’accélère
À l’occasion de la journée
mondiale contre le cancer, l’Association pour la Recherche sur le Cancer (ARC) l’Inserm et l’Institut national de
cancer (INCa) présentent un web documentaire intitulé « Recherche sur les cancers : tout s’accélère».
Il sera disponible sur leurs trois sites internet et sur
www.recherche-tout-saccelere.fr dès le 4 février 2012. Cet outil multimédia interactif
met en lumière les axes de recherche actuels les plus prometteurs, avec pour fil rouge les avancées
concourant au développement d’une approche individualisée du traitement des cancers. Outil grand public à
vocation pédagogique, il présente l’originalité de mettre en lien le travail des chercheurs et la réalité du
cancer telle qu’elle est vécue par les malades.
(Cliquez sur l'image ci-dessus pour voir le clip du reportage vidéo)
L’interface du web documentaire est construite à
partir de témoignages d’anciens malades du cancer, points d’entrée des chapitres, vers des
interviews de chercheurs et de médecins, illustrées de reportages sur leurs lieux de travail. L’ensemble est
organisé en quatre parties correspondant aux champs d’application majeurs de la recherche : comprendre, soigner,
accompagner et enfin, prévenir et détecter le cancer. L’objectif : incarner de façon tangible,
pour un public non spécialiste, les progrès à l’oeuvre aujourd’hui et envisageables demain, et contribuer ainsi à
modifier l’image de la maladie.

Le cancer, enjeu majeur de santé publique, fait en effet partie de nos vies. On
estime à 365 500 le nombre de nouvelles personnes touchées en France en 2011. Mais aujourd’hui aussi, plus d’une
personne sur deux guérit de sa maladie. Et plus de 3 300 chercheurs et techniciens travaillent quotidiennement
sur les différents aspects de la recherche au service d’avancées se traduisant notamment par un accès de plus en
plus rapide à des traitements de plus en plus individualisés.
Une accélération dans la compréhension de la maladie Il y a 40 ans, on découvrait que les cellules
cancéreuses présentent des anomalies de leurs gènes, le plus souvent survenues au cours de la vie de l’individu.
Restaient à décrypter ces anomalies. Si le séquençage du génome humain dans les années 2000 a nécessité une
dizaine d’années, aujourd’hui, grâce aux progrès techniques, il ne faut pas plus de quelques jours pour
séquencer le génome d’une tumeur cancéreuse. Les chercheurs sont unanimes : la recherche en cancérologie a fait
des bonds de géant ces dernières années et continue de s’accélérer.

Un progrès majeur contre le cancer:
les thérapies ciblées
Des anomalies génétiques identiques peuvent être retrouvées dans les cellules cancéreuses de
patients dont les cancers touchent des organes différents. À l’opposé, les altérations peuvent
être très différentes chez des patients atteints d’un même cancer. Ces anomalies qui peuvent
souvent être détectées par des tests biologiques deviennent des cibles potentielles pour les traitements
médicamenteux : on parle alors de thérapies ciblées.
Aujourd’hui en France, 28 laboratoires régionaux proposent pour l’ensemble des patients qui le nécessitent des
tests permettant d’adapter leurs traitements aux caractéristiques des tumeurs. Les thérapies ciblées sont utilisées
dans plusieurs types de cancers principalement dans le cancer du sein, le
cancer du poumon et le cancer colorectal, et dans certaines leucémies et
cancers rares. Véritables illustrations des bénéfices de la recherche, les thérapies ciblées
constituent ainsi des traitements « sur mesure » adaptés aux caractéristiques de la tumeur des patients.
L’accompagnement des personnes
cancéreuses
Une personne malade du cancer est une personne qu’il faut accompagner, dans son
parcours de soin, à l’hôpital, lors de son retour à la maison et tout au long de sa réinsertion professionnelle.
Les chercheurs en sciences sociales s’intéressent ainsi à la qualité de vie sociale et psychique des personnes
touchées par la maladie et de leurs proches. Surmonter la détresse, apprivoiser la maladie et ensuite reprendre
le cours de la vie sont des étapes importantes du parcours de la personne malade. La recherche s’intéresse à ces
différentes étapes ainsi qu’à la place du malade et à l’image de la maladie dans notre société pour apporter aux
professionnels des éléments de compréhension et favoriser un meilleur accompagnement contre le
cancer.
Des
progrès dans la prévention et la détection du cancer
En amont de la maladie, la recherche s’intéresse aussi à la façon de mieux cerner et comprendre les
facteurs de risque de cancer, de mieux informer la population pour inviter à des changements de
comportements individuels plus favorables à la santé (arrêter de fumer, baisse de la consommation d’alcool, pratique de l’activité physique et
équilibre de l’alimentation, limitation des expositions solaires…) Elle s’intéresse aussi aux modes de détection
des cancers permettant un diagnostic précoce et donc une prise en charge plus efficace.
Une mutualisation des efforts
contre le cancer
Si la recherche progresse, c’est également parce que les équipes mutualisent leurs moyens pour
parvenir à des résultats rapides et probants contre le cancer. Depuis plusieurs années, une
meilleure coordination et structuration de la recherche entre les différents acteurs, publics et privés,
institutionnels et associatifs, concoure à une performance nouvelle. De nombreux partenariats rendent ainsi
possible l’accès des innovations thérapeutiques de très haut niveau technique au plus grand nombre. Cette
priorité des chercheurs est fortement soutenue par la volonté des pouvoirs publics exprimée dans le Plan
cancer Copyright-2013.

Une personne sur
4 est destinée
à souffrir du cancer
dans sa
vie
Nous fabriquons des cellules
cancéreuses plusieurs fois par jour.
En nous il y a une force qui peut activer ou freiner la maladie. Ce CD audio vous montre comment éviter d'avoir une personnalité à cancer, comment éviter la
maladie et dévoile un processus pour faciliter toute guérison
Le docteur Pintagraf, président de la société américaine contre le cancer, déclare:
"J'ai personnellement observé des cas d'individus ayant réussi dans leur traitement à dépasser la maladie et à bien
vivre pendant des années voire des dizaines d'années, mais qui devant une situation de choc émotionnel, par la
suite, comme la mort d'un fils par exemple, une infidélité ou un chômage prolongé, ont connu une réactivation de
leur cancer qui les mena à la mort.
Il y a des preuves établies de ...

(Cliquez sur le bouton ci-dessus pour lire la
suite)
|
|
|
|
AVERTISSEMENT:
-
En aucun cas l'information obtenue
sur internet ne
doit être utilisée comme moyen
d'autodiagnostique ou d'automédication sans l'avis préalable de votre
médecin.
-
L'information diffusée sur ce site
est destinée à encourager les relations avec votre médecin traitant et
non à les remplacer.
-
Vos informations restent
strictement confidentielles.
Aucune information n'est transmise à une
organisation extérieure.
|
|
|
|
|
|
Haut de Page
|